« Dirty week-end est un roman noir dont l’humour mordant sert à dénoncer ce que la narratrice perçoit comme la domination violente du « mâle ». Les dialogues, savoureux, et la prose, percutante, finissent de traduire la perversité du livre. »
Claire Conruyt. Le Figaro littéraire.
« Orange mécanique féministe au style froid et litanique, le livre a la force métaphorique d'une fable noire. Bella, c'est toutes les femmes, l'allégorie des violences qu'elles subissent. »
Elisabeth Philippe. L’Obs.
« Pourquoi le relire aujourd'hui ? Pour se régaler de nouveau du style corrosif et élégant de l'auteure. »
Helena Villovitch. Elle.
« Le ton est si distancié que c’en est tantôt drôle, tantôt malaisant… En réalité, le style est juste so british, inscrivant indubitablement Dirty week-end dans la vaine des nineties britanniques qui engendreront quelque temps plus tard un certain Trainspotting. (…) Un roman de première nécessité à l’usage des affranchi(e)s ! »
Maryse Delcord. Elle Belgique.
« Le vrai scandale du livre est philosophique. Car cette justice, aux allures de vengeance divine, est à la fois légitime et inacceptable. Juste et injuste. Salutaire ironie qui ébranle nos concepts. »
Damien Aubel. Transfuge.
« Tantôt considéré comme une œuvre féministe tantôt comme une apologie racoleuse de la violence, cet opus se lit à 100 à l'heure, le cœur au bord des lèvres. »
Isabelle Bourgeois. Avantages.