« Tout en nuance, tout en modestie, Bang explore la société danoise, peignant des êtres démunis, impuissants devant le destin qui finit le plus souvent par les broyer, sans qu'un murmure se fasse entendre - encore moins un cri. »
Elena Balzamo, traductrice
« Dans la littérature danoise, Herman Bang, avec sa nonchalance caractéristique, est une figure tutélaire du roman moderne. Cent ans après sa disparition, sa prose tempérée, ironique et délicate est bien plus vivante qu’une bonne partie du modernisme déclamatoire qui, entre-temps, s’est imposé dans le domaine de la culture – au nom de sa destruction. »
Jens Christian Grøndahl, écrivain danois, extrait de la préface
« Une figure ardente et intense qui hante le lecteur. »
Philippe-Jean Catinchi, Le Monde des Livres
« Sous nos yeux, la chute infinie d'Ida Brandt n'en finit pas de nous obséder… »
Christine Ferniot, Télérama
« Les textes de Herman Bang, né au Danemark en 1857 et mort en 1912, ont une précision souvent elliptique qui les rend bouleversants jusque dans le moindre détail, la moindre conversation. »
Mathieu Lindon, Libération
« Un classique de la littérature danoise […] Herman Bang y raconte le désenchantement et les espoirs déçus. […] Un roman aussi mélancolique que le ciel de Copenhague. »
Version Femina
« Tragique et incarnée, Ida Brandt fait partie des héroïnes que l'on n'oublie jamais. »
Livres Hebdo
« Entre Henry James et Flaubert, avec une lucidité frappante et poignante, cette peinture des mœurs sociales du XIXe siècle européen donne un aperçu fascinant de l’époque et de l’atmosphère de Copenhague au seuil de l'époque moderne, ville foisonnante d’aventures mais sécrétant une angoisse mélancolique et secrète. »
Isabelle Falconnier, L’Hebdo (Suisse)