« Cette éducation sentimentale écrite dans une langue qui oscille en crudité gouailleuse et retenue délicate n’a rien perdu de son sel et de sa liberté de ton. »
Stéphanie Dupays, Le Monde des Livres
« Un roman tendre et cruel sur la jeunesse et le grand âge. »
Thierry Clermont, Le Figaro Littéraire
« Avec L’Involontaire, Blandine de Caunes fait naître une figure de femme libérée dans les années soixante-dix, sensuelle, dure et fragile. »
Élise Lépine, Transfuge
« L'Involontaire n'a rien perdu de sa perspicacité, de sa hardiesse – intact et atemporel comme sont les contes. »
Nathalie Crom, Télérama
« Le récit quasi clinique de cet apprentissage de l'amour et de la vie est impitoyable. Blandine de Caunes y ausculte l'arrogance de la jeunesse comme les avanies de la vieillesse. Des poussées de langue drue dans un ensemble de facture classique installent l'aventure intime de son héroïne du côté de la modernité. Quarante ans après, L'Involontaire a gardé sa belle audace. »
Jean-Claude Lebrun, L’Humanité
« Un roman de jeunesse qui n’a pas pris une ride. […] Tout, de la haine de la vieillesse au cynisme de l’argent en passant par la verdeur du langage, semble si contemporain. »
Thomas Mahler, Le Point
« Par sa belle langue et son caractère intemporel, cette impitoyable éducation sentimentale a déjà des allures de classique. »
Claire Julliard, L’Obs
« Roman d'apprentissage d'une douce amoralité, ce délicieux ouvrage, paru en 1976 et heureusement réédité, reste d'une surprenante modernité. »
Isabelle Bourgeois, Avantages
« Ce parcours initiatique, porté par une écriture hardie, compose une mordante variation sur l'éternel féminin. »
Jean-Michel Ulmann, Notre Temps
« L’Involontaire est un roman d'apprentissage amoureux, un roman psychologique à la fois amoral et candide. »
Béatrice Putégnat, Librairie Pages après pages (Paris 17e), Page des Libraires