« Un de ses meilleurs romans […] Ce roman pressé et empreint d’une rose mélancolie, prémonitoire de la fin tragique et volontaire de Klaus Mann, en 1949 sur la Riviera, effleure à peine la popularité grandissante du NSDAP, sinon à travers des personnages mineurs, renforçant, décuplant ainsi la force du message. »
Thierry Clermont, Le Figaro Littéraire