« De la quinzaine de Contes étranges réunis et traduits par Edouard-Auguste Spoll dont les thèmes font souvent écho à ceux qu'ont développés les romantiques allemands, comme E.T.A. Hoffmann ou Achim von Arnim, émergent de fascinantes allégories. S'y entremêlent principes moraux typiques de l'éducation puritaine et fantaisies oniriques, un mariage parfois surprenant qui fait tout le charme de Nathaniel Hawthorne. »
François Rivière. Le Figaro littéraire.
« Dans leur traduction d’origine (1876), ces histoires courtes sont l’occasion de découvrir la variété des personnages et l’imagination foisonnante du grand écrivain gothique. »
Hubert Artus. Lire.