Le 16 mai 1876, à vingt-six ans, le lieutenant Julien Viaud, alias Pierre Loti, arrive par mer pour la première fois à Constantinople. Il découvre un pays qui l’éblouit et le marquera au point de le considérer comme sa « seconde patrie ».
Fasciné par le Bosphore, la Turquie, sa civilisation et ses hommes, le grand écrivain confia en son temps, dans le souci de l’authenticité due aux lecteurs : « C’est presque à travers mon âme qu’ils vont apercevoir le grand Stamboul. »