Préface d’Elsa Zylberstein
Une jeune femme, soignée dans un sanatorium dont elle ne reviendra peut-être pas, illumine ses journées en pensant à son amant, jusqu’au matin où elle reçoit une lettre de rupture : « Je me marie… Notre amitié demeure. » Son monde vacille. Tiédeur et compromis ne seront pas de mise pour dire, dans un cri pur et sans concession, ce qu’est pour elle l’amour absolu…
Encensé de toutes parts depuis sa première parution en 1933 sous le titre de Commentaire, ce texte a marqué son temps et frappe par sa modernité, son implacable lucidité et sa bouleversante analyse de la perte des illusions.