« Il faut lire Margerit. »
« Le Château des Bois-Noirs plonge ses racines dans plusieurs sols à la fois et semble avoir emprunté à tous les genres romanesques. On peut y lire un roman classique, dans lequel on ose encore mourir d’amour, un roman sentimental (mais sans sensiblerie), un drame psychologique ou, dans le dernier quart du volume, une enquête à la Maigret […] Finalement, on tient un roman comme il ne s'en fait sans doute plus guère mais dans lequel on a plaisir a rester embarqué. La richesse de l'écriture y est bien sûr pour beaucoup (une densité qui avait déjà séduit Julien Gracq dans Mont Dragon). »