« Les romans majeurs de George Sand (Consuelo ou Mauprat, par exemple) ne peuvent être rangés dans un seul genre littéraire. Les Beaux messieurs de Bois-Doré le prouve avec éclat. C’est à la fois un mélodrame, un roman de cape et d’épée, un roman sentimental, une comédie, une bergerie (sous l’influence de L’Astrée), un roman politique et un roman religieux, et quoi qu’en dise l’auteur, un roman historique ; disons que c’est surtout un roman d’apprentissage dont plusieurs épisodes ont le rythme aux brides lâchées, chatoyant, la verve, l’humour de cette Comedia dell’arte qu’elle connaissait si bien et appréciait. »